WOODEN CHALETS
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 FINI - MYLES

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Myles P. Whitaker

Myles P. Whitaker


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MessageSujet: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyMer 17 Fév - 21:47

FINI - MYLES 2rqk3lu
© brain damage

PASSPORT PLEASE. présentez votre personnage, de manière simple.


NOM, PRÉNOM: WHITAKER - MYLES, PRIAM, EMYRS
AGE, DATE DE NAISSANCE, LIEU:26 ANS, NAQUIT LE 18/12/84
SITUATION SENTIMENTALE: Nommons ces sentiments absurdes de futilités ne faisant qu'encombrer le poids de nos âmes et défier nos jugements : leurre.
ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES:Après avoir fait une université en spécialité communication, a décidé de commencer sa vie active par le chômage. Demain, je commencerai à regarder les petites annonces. Le beau refrain.

JUST HAVE TO KNOW IT. vous devrez faire en tout, une vingtaines de lignes.


DIX ASTUCES À SAVOIR:
♠️ bric à brac : N'aime pas les films à l'eau de rose. Ne supporte pas les beatles. Aime les pandas, le nutella, les groupes des années 60, le folk et le rock, bien qu'il refuse de le dire il est fan de mamma mia. Aime son pays, mais aime tout de même voyager. Ne connait pas son alphabet, et ne voit pas l'intérêt de l'apprendre.
♠️ la famille : A un frère jumeau aussi idiot que lui. Sa vie amoureuse est un désastre, pour la simple raison qu'il préfère la coke et l'alcool à tout le reste. Ne parle presque plus à ses parents, juste assez pour ne pas être déshérité.
♠️ mode de vie les meilleurs adjectifs pour qualifier sa personne sont égoïste, hautain, hypocrite, déterminé et malin. Un mode de vie décadent qui ne limite qu'à la luxure et le vice.
♠️ Phobies D'habitude les gens craignent des choses ordinaires comme les serpents, araignée. Chez Myles, il s'agit des cochons, des martiens, et des clowns.
♠️ films Même s'il refuse de l'admettre, il connait tous les dessins animés par coeur. Il est un grand fan des seigneurs des anneaux. N'a jamais vu E.T car il a trop peur de martien, et a fait des cauchemars pendant 3 mois après avoir vu mars attack, film censé être humoristique. Il déteste les films de fin du monde ou les films d'amour.
♠️ symbolique Myles porte toujours une longue chaine à laquelle, il a ajouté plein de pendentif différents. Il s'est également fait tatoué le chiffre 3 sur l'annulaire. Il prévoit également de se faire tatouer le symbole de la nature sur le bas du torse.
♠️ croyance Myles ne croit que on se qu'il voit. Pour lui il n'y a que deux et deux sont quatre et quatre et quatre soit huit. Religion, superstition, destin : tout cela a été inventé par l'homme.
♠️ infidèle l'amour est pour lui le plus beau leurre universel. L'union entre une pute et un pervers que l'on a recouvert d'un beau drap rose.
♠️ Lecture Myles affectionne beaucoup Oscar Wilde, et principalement le portrait de Dorian Gray. En général il préfère la lecture anglaise, mais il aime également lire des œuvres antiques comme Oedipe, Antigone, et toute leur famille de dingue.
♠️ polygame Un sens de polygamie assez étrange : je me partage, mais je ne partage pas ce qui est à moi ->

PHYSIQUE ET MENTAL:

Ce n'est qu'un leurre, nous ne sommes plus vivant. C'est un cercle infernal, un trou noir qui va tous nous prendre.
Pour moi, Dieu et toute sa bande, ne sont que des balivernes, des faux espoirs que se donnent l’homme. L’homme est juste trop couard pour admettre que quand on est mort, les insectes vous mangent et que après vous devenez poussières. L’homme a besoin d’espérer car cet espoir le fait vivre. Mais si ce Dieu, dont vous parlez existe vraiment, que fait-il ? Il regarde sur son trône le sillage des hommes. Dans le fond Dieu ne vaut-il pas mieux que Satan.

Votre Dieu ne m'a rien donné. Il m'a montré mon impuissance dès le premier jour de ma naissance, un 18 décembre 1984 dans un hôpital Londonien. Peut-être à t-il estimer que je pourrais me passer de ma mère. Après tout nous sommes trop nombreux sur la planète, alors une mère de plus ou de moins, qu'est-ce que ça change ? Les gens pensent que je dois être reconnaissant envers mon père de m’avoir choisi moi et pas elle. Mais je n’ai aucune reconnaissance, et lui il n’a que des regrets qui lui rongent l’âme. Il m’arrive encore de le voir avec cette expression qui dit « pourquoi j’ai choisi ça ». C’est étrange l’être humain, il veut toujours choisir, mais quand on lui donne le choix, il se défile toujours. Je sais très bien que s’il ma choisi moi, il l’a fait pour ma mère et non pas pour moi. Je pourrais crever, celui ne lui ferait rien. Il ne vit que pour elle. Et moi je vis avec de vide et cette voix qui me crie dans ma tête, "tu es un criminel".

Moi Myles, J'ai tué ma mère. Comment appelle t-on quelqu'un qui tue ses semblables ? Un criminel. Oui c'est ça. Et comme un criminel je n'ai pas d'autre choix que de courir. J'ai toujours pris la fuite. Je fuyais mon histoire, mes sentiments et parfois la vérité quand celle ci me courre après. A vrai dire la vérité et moi ne sommes pas très amis. J'ai beau courir, elle me retrouve toujours. Les gens me qualifient comme arrogant, prétentieux, vilain. Et il est vrai que je méprise les règles et que je ne cherche que plaisir, scandale, sensualité. On dit que j'incarne le cynisme, la moquerie et le leurre universel.Et j'admets que je me fous pas mal de la charité et de la sensibilité. Pour moi le bonheur n'est qu'une vulgaire illusion optique, deux miroirs qui renvoient la même image à l'infini. L'amour ne sert qu'à aliéner la déprimée, justifier la fornication et consolider l'orgasme.

Toute ma vie n’est qu’une addition de vice. On dit « qui vole un œuf vole un bœuf » remplacer l’œuf par un paquet de bonbons et le bœuf par une caisse. Toute ma vie n’est que déchéance et folie. Désillusionné avant l’âge, j’ai toujours craché sur la facilité des sentiments. Roméo/Juliette, Titanic, que des supercheries. Les amours inconditionnels sont futiles. Personne ne donne son amour sans condition. Soyez raisonnable, aimerez-vous toujours votre Jules si ce dernier vous frappait, se droguait, vous abandonnait ? Non. Il y a toujours des conditions dans l’amour. J’ai grandi en voyant mon géniteur se détruire, alors comme un dadais j’ai suivis son exemple. Aujourd’hui, même la beauté me laisse d’une indifférence grossière. Je m’amuse à griller les feus rouges de la vie. Rien n’est trop fort et horrible pour moi. J’accumule les vices, et brise les êtres.
De toute façon, à quoi bon changer je suis l’enfant du diable. Je suis damné.

REAL PLAY GAME. parce qu'on a tous un vrai visage.


PSEUDO:Nana
AVATAR:Je pense Luke Grimes
COMMENT ES-TU ARRIVÉ ICI:J'étais déjà sur C.A, mais malheureusement il n' pas tenu. Du coup je retente l'aventure ici (:
UN AVIS PERSONNEL: FINI - MYLES 379322


Dernière édition par Myles P. Whitaker le Ven 19 Fév - 22:45, édité 5 fois
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Myles P. Whitaker

Myles P. Whitaker


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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyMer 17 Fév - 21:51

    Dis Musee, tu te souviens de ce jour d’automne. Les feuilles volaient dans l’air nous offrant un spectacle de couleur. Le vent soufflait dans nos chevelures comme s’il voulait nous montrer une direction. J’aimais regarder tes beaux cheveux bruns négligés se déchaîner. Déjà à l’époque, je te trouvais exquise. Même si tu n’étais qu’une petite fille de six ans, encore bien ignorante et éthérée, tu représentais pour moi la quintessence de la délicatesse et du charme. Ce jour-là, nous courrions tous les deux dans le square près de chez nous. Nous devions certainement jouer à chat, notre jeu fétiche à l’époque. À chaque fois, je te laissais gagner, ce qui avait le don de te sortir de tes gains. Tu me vociférais que tu n’étais plus un bébé, et que nous pouvions jouer de manière égale. Malheureusement, pour toi, je ne t’ai jamais écoutée, et je t’ai toujours continuellement laissé gagner. Alors que je te courais après, tu es tombée sur une des racines du grand châtaignier. À travers ton collant foncé, on pouvait voir ton sang couler. Tu affirmais que tu n’avais pas mal, mais je voyais très bien que tu te mordais la lèvre pour te retenir de pleurer. Tu as toujours pensé que les filles qui pleure sont des mauviettes. Entêtée, tu affirmais que tu voulais continuer à jouer. Tu savais pourtant, que jamais je ne t’aurais laissé jouer dans un tel état. Au bout de quelques minutes, nous arrivâmes à un accord : tu t’asseyais tranquillement sur le banc et en échange je te donnais mon pain au chocolat du quatre heures. Heureusement, que tu étais une adepte de la gourmandise, parce que sans elle, je ne sais comment j’aurai fait.
    Nous sommes restés assis dans les alentours de 10 minutes sur ce vieux banc usé. J’aimais ce banc, sa couleur marron foncé était novice et sa place, sous le grand châtaignier était idéal pour observer le square. Quand je pense, qu’à l’époque tes pieds ne touchaient pas encore le sol. Nous avons bien grandi petite sœur. Nous parlions tranquillement de sujets divers, quand soudain nous avons entendu un drôle de bruit provenant de derrière l’arbre. D’un premier temps, nous nous sommes regardés avec un regard interrogatif. Le bruit que nous avions entendu se répétait de manière régulière, puis silence. Pas du tout couard, nous voulions savoir qu’est-ce qui faisait ce bruit. Je t’ai autorisé à te lever, chose que tu aurais également faite sans ma permission. Nous nous sommes doucement approchés de la source du bruit, à la fois intrigués, amusés et peu hésitants. Et aussi surprenant que de recevoir une brosse à dents à Noël, nous avons vu un lapin blanc. De manière délicate, nous nous sommes timidement approchés de lui. Il avait l’air d’avoir dressé car il n’eut pas peur. Tu fus la première à pouvoir toucher sur doux pelage froid. Il remuait sa petite truffe humide comme s’il tenait à nous dire quelque chose. Contrairement à la majorité des lapins blancs, celui-là n’était pas albinos. D’une façon à la fois douce et maladroite, tu arrivas à le prendre dans tes bras. Au début il semblait paniqué, puis il s’amadoua. Nous nous rassîmes sur le banc, cette fois si avec un invité d’honneur que nous allions baptiser.


      MUSEE « Comment est-ce que l’on pourrait l’appeler ? »
      MYLES« Quelque chose d’original »
      MUSEE« PINPIN ! »
      MUSEE« Pinpin le lapin. C’est sûr que question innovation, c’est génial »
      MYLES« Propose mieux, monsieur je ne suis jamais content »
      MUSEE« Batman ! »
      MYLES« Batman ?! Et pourquoi pas super cochon pendant que nous y sommes ? »
      MUSEE« Faisons un mixte de nos deux noms »
      MYLES « Cela donne Pinman ou Batpin »
      MUSEE« PINMAN BATPIN FAIVRE »



    Très satisfaits d’avoir enfin baptisé notre beau lapin blanc, nous avons décidé de rentrer à la maison avec que nos parents ne s’inquiètent. Bien sûr, nous n’avions pas abordé les questions élémentaires comme où logerait ce lapin, qui le nourrirait, et la grande question : est-ce que nos parents seront d’accords. Nous sommes donc revenus avec un minois innocent et un Pinman entre les mains. Ce jour, tu étais tellement heureuse d’avoir eut ton premier animal de compagnie, que tu en as oublié ta douleur au genou. Tu me souriais naturellement sans rien attendre de moi, si ce n’est que de la tendresse. C’était la belle époque.

        CHAPTER TWO : hiver & drogue


    Dis papa, tu te souviens de ce jour d’hiver. Je venais d’avoir 18 ans, et déjà je me croyais libre de tout. ? De la fenêtre de ma chambre je pouvais voir ce ciel d’un gris amer et terne, le paysage blanchit par la neige ressemblait à une vielle carte poste d’avant-guerre. Tu sais ces cartes postales si tristes et pourtant si représentatives d’un espoir futur. Les rues étaient désertes, comme s’il y avait eu un déluge. Dans mon corps aussi, résidait cette impression de déluge. Pour oublier, j’avais commencé à sortir une bouteille de vodka, quelques joints. Pour oublier, c’est toujours ce que l’on dit. Évidemment, nous sommes damnés à ne jamais oublier. Nos tristesses et nos douleurs sont gravées au fer sur notre âme. Nos démons veillent toujours sur nous dans la nuit blanche. J'ai toujours pris la fuite. Je fuyais mon histoire, mes sentiments et parfois la vérité quand celle-ci me court après. À vrai dire la vérité et moi ne sommes pas très amis. J'ai beau courir, elle me retrouve toujours. C’est un cercle vicieux.
    Assis sur le parquet de ma chambre, je fumais mon premier joint de la journée. En prenant mon temps, je savourais chaque bouché. Idiots sont les gens qui n’aiment pas fumer. De plus que ces mêmes gens ont la fameuse tendance de toujours vous faire la morale « si tu fumes, tu vas mourir plutôt » supercherie. Et de toute façon, qu’est-ce que cela peut faire si nous désirons mourir plutôt ? La mort me semble aujourd’hui encore si douce et si délicate. Le noir. Les gens arrêtent enfin de parler, plus jamais vous n’aurez à vous défendre ou à souffrir. Un repos immortel. Pour moi, Dieu et toute sa bande, ne sont que des balivernes, des faux espoirs que se donne l’homme. L’homme est juste trop couard pour admettre que quand on est mort, les insectes vous mangent et qu’après vous devenez poussières. L’homme a besoin d’espérer car cet espoir le fait vivre. Mais si ce Dieu dont vous parlez existe vraiment, que fait-il ? Il regarde sur son trône le sillage des hommes. Dans le fond Dieu ne vaut-il pas mieux que Satan.
    J’écrasais mon joint dans le cendrier. J’ouvrais ma bouteille de Vodka, Dieu béni celui qui a inventé la vodka. Tout cela me laissait d’une indifférence grossière : ces fêtes à gogo, ce rock n’roll, ces filles. J’étais lasse de devoir me lever chaque matin pour voir ce monde se révoltant. J’avais cette cruelle impression d’être en sursis. Dans la fumé, la vérité se fait avec lenteur. Tout cela me laisse vide. J’avais déjà goûté à tout, ce merdier faisait aujourd’hui parti de mon quotidien.
    Ce jour d’hiver, alors que j’alliais la déprime, j’ai eu la mauvaise idée de me proposer une petite ligne. Je savais pourtant que je n’avais pas à prendre ce genre de substance à la maison, cela ferait hurler toute la famille. Pff, comme si vous ne saviez pas déjà que j’avais passé le stade des quelques joints. Vous saviez très bien que j’avais déjà essayé des choses plus fortes, mais tant que je ne prenais pas ce genre de chose à la maison, vous ne me disiez rien. Toi et maman connaissiez déjà mes intentions mal honnêtes et mes envies de chair luxurieuses voir même obscènes. J’étais donc à ce point irrécupérable ? Certes mon cynisme et mon hypocrisie étaient déjà aberrants, mais voilà qu’à 17 je me laissais aller à la débauche universelle.
    Mauvaise pioche pour moi, ce jour-là je n’avais pas choisi le bon moment.

      M. WHITAKER« Myles est-ce que tu peux … » Toi mon père, tu étais rentré dans ma chambre sans même penser à frapper la porte. Pris en flagrant délit, je te regardais stupéfait. Tes sourcils se fronçaient, tes yeux reflétaient la peine et le mépris. Toi un médecin réputé, tu regardais ton fils, ton unique fils se droguer à quatre heures de l’après-midi comme un freluquet.
      M. WHITAKER « Qu’est-ce que c’est que ça Myles ?! Comment oses-tu prendre ces choses sous mon toit ? »
      MYLES « Papa … »
      M. WHITAKER « Et si ta sœur te voyait, hein ?! Qu’est-ce qu’elle penserait de toi ? »
      MYLES « Musee me comprendrait »
      M. WHITAKER« Supercherie . Regarde toi ! Ton teint est blafard, tes yeux sont comme vides. Cela ne m’étonnerait pas que tu ne saches pas marché droit. Tu me répugnes Myles. Comment es-tu tombé aussi bas ? »
      MYLES« Cela doit venir ma génitrice. C’est un petit air de famille »


    C’était la chose à ne pas dire. Je le savais trop bien. En te remémorant le souvenir amer de Maman, je cherchais à te blesser. Je voulais que tu ressentes toi aussi ces douleurs dans ta poitrine et cette voix dans ta conscience qui te dit que toi aussi tu l'as perdue. Et que si elle est morte ce n'est pas forcement à cause de sa grossesse mais à cause des drogues qu'elle a prise pendant tant d'année avant notre naissance. C’était d’un égoïsme grossier, mais je voulais ne pas être seul. J’éprouvais le besoin partager cette souffrance avec quelqu’un.

        CHAPTER THREE : Printemps & ignorance


    Tu sais Phoenix, avant je pensais que L'amour est le plus beau leurre universel. Les gens se bernent à croire toutes ses futiles histoires qu'on leur a racontées dans leur enfance. Ces histoires qui racontent comme quoi nous sommes tous destinés à rencontrer notre fameuse âme soeur. Il serait tant que les gens ouvrent leurs yeux aveuglés de toutes ses futilités, et qu'ils voient la vérité. Cette vérité indéterminable vaguement comparable à un bordel. Un merdier sans nom. L'amour naît de l'union entre une putain et d'un pervers que l'on a couvert d'un voile rose. Le romantique est le culte du cucu la praline. Un style littéraire que l’on aurait inventé pour des adolescentes impubères. Le cycle de la vie n’est qu’une succession de perversité. Nous sommes tous nés d’origine pornographique. Il n’y a rien de glamour ou de romantique dans le fait de s’accoupler, de naître et de mourir. La vie n’est en rien synonyme de romantisme. Elle s’y oppose de tout point et le contredit. L’être humain s’offense à vivre avec la même personne pour l’éternité. Comme si cet être irresponsable, ignorant et cruel en était capable. Mêmes les animaux ne restent pas en couple pour la vie, enfin si, il y a les canards, mais eux ils ont hors catégorie.
    Puis tu m’es apparue. Tu m’as ouvert les yeux sur ma réalité. Nous étions deux âmes sœur tâchés à jamais. Il y avait une connexion inexplicable entre nous. Nous partagions les mêmes états d’esprit compliqués et la même vision du monde narcissisme. À la fois différents et complémentaires, nous étions dans un corps à corps passionné. Notre passion était vouée au paradis, mais il n’y a pas de place pour deux au paradis.
    Tout cela me tue. Tu me tues d'un mort à la fois douce et douloureuse qui n'en fini pas.


Dernière édition par Myles P. Whitaker le Ven 19 Fév - 22:32, édité 2 fois
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Charlie Brawks
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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyMer 17 Fév - 21:55

Bienvenue Smile
I love you
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Jules Rhodes

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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyMer 17 Fév - 21:58

bienvenue sur le forum. je te réserve luke pour une semaine. I love you
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Myles P. Whitaker

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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyJeu 18 Fév - 15:33

    merci beaucoup I love you
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Matteo Randulph
♣ I KNOW I'VE GOT TO LET IT GO AND JUST ENJOY THE SHOW.
Matteo Randulph


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Emploi : Ballerine professionnelle en Angleterre. Babysitter pour le moment.
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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyVen 19 Fév - 7:56

    Bienvenue I love you
    Luke Grimes FINI - MYLES 35980 Avec ma bannière FINI - MYLES 35980
    J'adore le prénom Myles
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Apolheen Curtis
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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyVen 19 Fév - 10:43

  • welcome ^^
    Luke FINI - MYLES 775539
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Myles P. Whitaker

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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyVen 19 Fév - 22:46

    BRAIN DAMAGE FINI - MYLES 474686
    cette signature est sublime.

    Apolheen, j'adore ton pseudo, merci beaucoup (:

    Fiche terminé, j'ai repris un bout d'une fiche que j'avais déjà faite.
    D'habitude je n'aime pas faire ça, mais j'ai trop envi de commencer FINI - MYLES 689353
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Jules Rhodes

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MessageSujet: Re: FINI - MYLES   FINI - MYLES EmptyVen 19 Fév - 22:53

je te valide !
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