| | LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé | |
|
+3Deavid Foster Hera Rhodes Louanne J. Ames 7 participants | Auteur | Message |
---|
Louanne J. Ames
Messages : 32 Date d'inscription : 18/02/2010 Credit : Woody Pepper Emploi : Infirmière Pseudo : lilou
| Sujet: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 18:29 | |
| © Gloomy Road PASSPORT PLEASE. présentez votre personnage, de manière simple. NOM, PRÉNOM: Ames Louanne Joyce AGE, DATE DE NAISSANCE, LIEU: 27 ans, 3 mai 1983, Cheytwin River SITUATION SENTIMENTALE: En instance de divorce. ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES: Infirmière urgentiste. Si vous faites une chute à risque, il y a de fortes chances que ce soit Louanne qui s'occupe de vous. JUST HAVE TO KNOW IT. vous devrez faire en tout, une vingtaines de lignes. DIX ASTUCES À SAVOIR:- Louanne a une cicatrice en forme de nuage près du genou, causé par son petit frère quand ils étaient petits. Il avait voulu tester ses nouveaux batons de ski et malencontreusement, il avait fait une entaille à Lou. 5 points de sutures. C'est à partir de là qu'elle a su qu'elle voulait travailler à l'hopital.
- C'est une grande sportive. Le matin, elle commence toujours sa journée par un footing d'une heure et il n'est pas rare de la croiser dans la journée à la salle de sport ou sur les pistes. Chez les Ames, on a été élevé dans la folie du sport et c'est resté chez Louanne.
- Il y a deux ans, elle a eu un grave accident de voiture et depuis elle évite de prendre sa voiture, préférant la marche ou le vélo. Elle ne prend sa voiture qu'en dernière nécessité.
- Louanne est une piètre cuisinière. Sur le bar de sa cuisine, il y a une liste important de numéro pour commander à manger. Elle remercie chaque jour cette invention géniale, sans laquelle elle serait déjà morte de faim.
- Elle a été faire ses études de médecine à New York et n'a pas du tout aimé cette ville. Louanne est definitivement une fille de la montagne. Elle adore Cheytwin River et une seule raison pourrait lui faire quitter la ville.
- Elle a une peur bleue des clowns et des relations avec les hommes. A chaque fois qu'elle voit un clown, elle hurle et part en courant. Pour les hommes, c'est à peu près la même chose. Quand elle s'apperçoit qu'ils s'interessent à elle, elle fuit. La seule fois où elle n'a pas fuit, c'est avec son mari. Vu comme elle souffre aujourd'hui, elle aurait du fuire.
- Elle est accro au café et aux cigarettes. Faut dire avec toutes les gardes qu'elle enchaine à l'hôpital, elle a bien besoin de ça pour tenir bon.
- Elle a un tatouage sur la cheville, représentant le signe chinois pour force. Son père l'a puni à vie quand il s'en est apperçu. Heureusement, il a changé d'avis.
- Elle n'est pas écologique pour un sous. Elle prend de longues douches chaudes, met son chauffage à fond et ne trie pas ses déchets.
- Si elle avait voulu, elle aurait pu être danseuse étoile. A l'âge de 12 ans, un chasseur de tête la remarque et veut faire d'elle la nouvelle star du ballet de New York, mais sa mère tombe malade et Lou fait le dur choix de rester à Cheytwin River. Elle ne l'a jamais regretté, mais se demande parfois comment ça aurait pu être.
PHYSIQUE ET MENTAL:Lou a hérité du physique de sa mère. Petite blonde aux yeux bleus, elle est le stéréotype même de la fille de la neige. Son teint opal laisse sous entendre qu'elle ne voit que très rarement la plage et le sable fin. Du haut de ses 1m64, Louanne cherche sa place dans le monde. Elle pensait l'avoir trouvé, mais elle s'était trompée. Elle n'en est ressorti qu'un peu plus brisée et aujourd'hui, elle a du mal à faire confiance. La jeune Ames est méfiante, mais une fois qu'on la connait, on découvre un véritable ange. Son physique angélique ne trompe personne. Sous son apparence froide, Louanne est véritablement un ange. I WAS WHAT I WILL BE. une ou plusieurs anecdotes sur la vie de votre personnage, une trentaine de lignes.
Depuis quelques semaines, la vie dans la maison Ames avait pris un tournant foncièrement différemment. Il y a de cela quelques semaines, la maison était remplie de rire, de tendresse et surtout d’amour. En rentrant, ce jour là, elle aurait du avoir leur bébé entre les bras et la maison aurait du retentir de larmes et de cris, qu’ils auraient adoré entendre parce que ce cri serait venu du plus petit parfait être. Mais ce cri n’avait jamais retenti et ils ne sauraient jamais le son de la voix de leur petit ange, parti bien trop tôt. En soufflant, Lou poussa la porte de leur appartement, suivie par son mari qui portait sa valise. Elle s’arrêta doucement dans le salon et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle avait l’impression que c’était tout ce qu’elle savait faire ces derniers temps. Elle ressentait un vide immense en elle et rien ne semblait vouloir le remplir, rien ne semblait vouloir éteindre la douleur sourde qui lui barrait la poitrine. Pas même les anti-douleurs qu’elle avait recommencé à prendre.
« Lou ? »
Elle sursauta, sortant de sa léthargie avant de se tourner vers l’homme qui lui avait volé son cœur il y a de ça des années. Il avait l’air épuisé et à bout de force et pour la première fois, elle se rendit compte qu’elle n’était pas la seule dans cette épreuve. Son mari ressentait aussi la même douleur. Ce bébé n’était pas uniquement le sien. Il était le leur. Elle s’approcha de lui et laissa sa main glisser le long de sa joue. Elle le vit fermer les yeux et elle se rapprocha un peu plus de lui. Elle se mit sur la pointe des pieds et s’accrocha à son cou, comme elle avait l’habitude de le faire avant que la vie les frappe de pleins fouets. Dans un geste automatique, il la rapprocha d’elle. Il avait besoin de sentir qu’elle au moins était encore en vie, qu’il n’avait pas tout perdu. Elle, avait besoin de savoir qu’il s’en sortirait toujours et qu’il serait assez fort pour traverser cette nouvelle épreuve.
« Pourquoi on a pas le droit d’être heureux ? » murmura-t-elle contre son cou. Les premiers mots qu’elle disait depuis la perte du bébé. Elle avait eu le temps de réfléchir durant ces deux dernières semaines et elle en était venue à une simple conclusion. Elle n’avait pas le droit au bonheur et elle avait empêcher son mari d’avoir le sien. C’était de sa faute si le bébé n’avait pas survécu à l’accident. Elle aurait du rester à la maison comme il le lui avait dit. Prendre la voiture un soir était inconscient. Tout ce qui s’était passé était sa faute et c’était de sa faute si son mari souffrait et elle ne le supportait pas. Mais égoïstement, elle avait besoin de lui à ses côtés. Plus que de quiconque. Il déposa un baiser sur son front et souffla les trois mots qu’il ne cessait de lui répeter depuis deux semaines. « Je t’aime. »
Il avait besoin qu'elle lui dise la même chose. Elle avait besoin de savoir si sa vie d'avant, si leur amour, leur complicité, leurs câlins et leurs baisers n'étaient pas morts avec leur enfant. Elle le regarda, puis prit la figure de son mari entre ses mains, se leva sur la pointe des pieds et l'embrassa tendrement. Il répondit précipitamment, comme s’il avait peur que ça soit un rêve. Il sentit quelques larmes qui avaient coulé sur ses mains, des larmes de soulagement. Le jeune homme cessa leur baiser, rouvrit lentement les yeux et regarda son visage, triste, belle, et soulagée. « Moi aussi je t’aime. » souffla-t-elle. « Laisses nous juste du temps. »
Il lui sourit tendrement puis hôcha la tête. De ses pouces, il essuya ses larmes, puis posa un doux baiser sur son front, avant de reprendre possession de ses lèvres pour un autre baiser. Car ils en avaient besoin. D'enflammer leur sens, de se sentir vivant l'espace d'un instant, d'être capable de ne plus ressentir de tristesse. Même pas de ressentir de l'amour pour leur conjoint, mais juste la sensation grisante de l'excitation, du désir... ils avaient besoin de savoir qu'il y avait une vie après la mort...
C'était il y a deux ans. Ils avaient bien tenté de surmonter cette épreuve, mais leur couple n'avait pas été assez fort. Ils s'étaient éloignés l'un de l'autre pour finalement prendre deux chemins séparés.
Louanne poussa la porte de son appartement. Ayant enchainé deux gardes consécutives, elle avait été renvoyé chez elle pour prendre un peu de repos. Personne ne semblait comprendre que rentrer chez elle ne l'aidait pas à se reposer. Elle détestait désormais devoir mettre les pieds dans cet appartemment. Elle le faisait uniquement quand elle n'avait d'autre choix et quand elle savait qu'il n'était pas là. Le silence l'acceuillant, elle souffla doucement. Elle pensait qu'il n'était pas là, elle avait tort. Allongé sur le canapé, Lou eu un léger sourire attendri. Il semblait si paisible, loin de leur vie quotidienne. Elle s'agenouilla à ses côtés et laissa sa main glisser sur sa joue mal rasée. A le voir comme ça, elle aurait pu penser qu'il ne s'était jamais rien passé, que leur vie n'avait pas été bouleversé par un accident de voiture, mais les cadavres de bouteilles jonchés sur le sol lui prouva que tout s'était réellement passé. « Qu'est ce qui nous est arrivé ? » « Lou ?» murmura-t-il. Elle détacha sa main, comme prise sur le fait et se dirigea rapidemment vers la cuisine. C'était facile de l'affronter quand il dormait, moins quand il était reveillé et en pleine possession de ses moyens.
Elle attrapa un sac poubelle et jetta toutes les bouteilles pour s'occuper, pour qu'il comprenne qu'ils ne devaient pas parlé mais c'était peine perdu. « Je crois que j'ai des hallucinations. » « C'est certainement les effets de l'alcool. »cracha-t-elle froide alors qu'il prenait une bouteille de bière dans leur frigo. « Il est pas un peu tôt pour ça ? » «Pour une fois que ma femme est à la maison, ça se fête. »
Elle déglutit difficilement avant de tourner la tête. C'était de sa faute s'il était dans cet état. Tous les deux étaient tombés dans une spirale infernale. Elle se croyait responsable et s'en voulait. Il se pensait responsable et détestait l'idée de ne pas pouvoir rendre Louanne heureuse. Pourtant rien n'était de leur faute. Un camionneur ivre avait grillé un feu rouge. Personne n'aurait pu le prévoir. Elle remit une de ses mèches de cheveux derrière son oreille et parti vers son sac. Elle allait lui briser le coeur une nouvelle fois. Elle le savait, mais elle ne pouvait pas faire autrement. Elle lui tendit les papiers. « Qu'est ce que c'est » « Les papiers du divorce. »murmura-t-elle, en évitant son regard. Elle ne devait pas flancher. Elle devait lui rendre sa liberté pour qu'il puisse vivre de nouveau. « Tu peux pas faire ça »Il s'approcha d'elle et glissa sa main sur sa joue pour la forcer à la regarder. « On peut pas vivre l'un sans l'autre.» Louanne releva le regard vers lui et acquiesça doucement. Elle en était consciente. Elle posa son front contre le sien. «Je sais. Mais je peux pas continuer à vivre en te regardant de te détruire »murmura-t-elle alors qu'une larme dévala sa joue.
REAL PLAY GAME. parce qu'on a tous un vrai visage.
PSEUDO:Lili AVATAR:Michelle Williams COMMENT ES-TU ARRIVÉ ICI: Bazzart UN AVIS PERSONNEL:
Dernière édition par Louanne J. Ames le Jeu 18 Fév - 22:18, édité 3 fois | |
| | | Hera Rhodes
Messages : 27 Date d'inscription : 17/02/2010 Credit : young folk Pseudo : hurricane
| | | | Deavid Foster
Messages : 42 Date d'inscription : 18/02/2010 Pseudo : Booze
WOODEN CHALETS Relations: Have to:
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 19:04 | |
| MICHELLE. | |
| | | Jules Rhodes
Messages : 281 Date d'inscription : 07/02/2010 Credit : camelot queen Emploi : strip-teaseuse Pseudo : giulia.
WOODEN CHALETS Relations: Have to:
| | | | Ethel Dickson
Messages : 66 Date d'inscription : 17/02/2010 Credit : Misery Angel, Tsouri Emploi : Institutrice / prof sportif à SportPlace Pseudo : Charlie
WOODEN CHALETS Relations: Have to:
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 19:27 | |
| RACHEL. Même si Michelle EUNEVNEIB ! | |
| | | Charlie Brawks IN THE NIGHT, I HEAR 'EM TALK
Messages : 167 Date d'inscription : 01/02/2010 Credit : Myself. Emploi : PDG d'une boite de prod.ciné. Pseudo : Rusty Rockets
WOODEN CHALETS Relations: Have to:
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 19:28 | |
| J'aime beaucoup les deux, mais j'avoue avoir un faible pour Rachel En tous cas bienvenue | |
| | | Louanne J. Ames
Messages : 32 Date d'inscription : 18/02/2010 Credit : Woody Pepper Emploi : Infirmière Pseudo : lilou
| | | | Jules Rhodes
Messages : 281 Date d'inscription : 07/02/2010 Credit : camelot queen Emploi : strip-teaseuse Pseudo : giulia.
WOODEN CHALETS Relations: Have to:
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 19:35 | |
| excellent choix, je te la réserve. | |
| | | Lucille Pepper
Messages : 28 Date d'inscription : 17/02/2010 Credit : SHINEDOWN. Pseudo : Miss uncertain.
| | | | Louanne J. Ames
Messages : 32 Date d'inscription : 18/02/2010 Credit : Woody Pepper Emploi : Infirmière Pseudo : lilou
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 20:52 | |
| Merci Alexis ma préférée | |
| | | Louanne J. Ames
Messages : 32 Date d'inscription : 18/02/2010 Credit : Woody Pepper Emploi : Infirmière Pseudo : lilou
| | | | Jules Rhodes
Messages : 281 Date d'inscription : 07/02/2010 Credit : camelot queen Emploi : strip-teaseuse Pseudo : giulia.
WOODEN CHALETS Relations: Have to:
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé Jeu 18 Fév - 22:28 | |
| j'aime beaucoup ta fiche, tu es validée ! | |
| | | Louanne J. Ames
Messages : 32 Date d'inscription : 18/02/2010 Credit : Woody Pepper Emploi : Infirmière Pseudo : lilou
| | | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé | |
| |
| | | | LOU ▬ On cicatrise, on n'en meurt pas. | Terminé | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |