WHENEVER YOU WANT OUT - busy

PSYCHOZEE @ bazzart. STARRING ROBERT PATTINSON;

Nom, prénoms: Basile. Nom complètement négociable. Prénom négociable avec celui d'Elias ou de Blaise.
Age: 25 ans.

Précisions physiques, morales et personnelles: Basile est un garçon très jaloux, dont les histoires amoureuses ont cessé à cause de cette jalousie extrême. Il est attachant mais veut sans cesse se garder tout pour lui et rien pour les autres. Loin d'aimer partager, il sait jouer de son sens de la manipulation. Néanmoins, il sait protéger ses bien-aimés mais n'est pas tourné vers la famille. Il adore les enfants et Jules et lui aimeraient avoir un bébé. Seulement, Dieu ne semble pas être d'accord avec ce souhait. Ils ont vu tant de médecins spécialisés, sans que ceux-ci leur disent réellement quel est leur diagnostic. Selon eux, il faut essayer et réessayer. Le moment venu, cela fonctionnera. Mais la patience est leur ami, d'après ces médecins fortement recommandés. Seulement, Basile était tellement impatient qu'il a couché entre temps avec une jeune femme, qu'il ne connait pas tout à fait (scénario) et celle-ci est tombée enceinte. Elle semble d'ailleurs vouloir que Basile, en tant que père de l'enfant, soit présent pour elle et leur bébé. Cependant, celui-ci ne l'a toujours pas avoué à l'amour de sa vie, Jules.

Relations entre vous:

« Rentre à la maison, tout de suite. » Je me détournai, ôtant mes collants noirs et les jetant à la foule, au bord de l’extase. Il me regardait, avec ce dégoût et cet amour qui lui étaient si particuliers. Je fis la sourde oreille, arborant encore et toujours cette moue intempestive. Je continuai, dansant gracieusement autour de cette barre de métal. Me frottant sans l’ombre d’une hésitation contre mes vêtements légers, qui tombaient chacun à son tour. Je n’avais plus que mon soutien-gorge, que scrutaient avec envie chacun du public. Lui, il ne m’adressait pas un regard. Il était sur le point d’exploser, dévoilant alors son caractère colérique au pays entier. Le chauffage avait été mis à fond, dans l’espoir que je dévoile de mon corps un peu plus que d’habitude. « Je croyais que tu ne m’aimais plus. Que je te dégoûtais. » lui répondis-je, m’approchant peu à peu de lui, sans même le toucher. Je descendis de l’estrade en bois, sur laquelle j’étais exposée, pour me mettre à genoux devant un client. Ses prunelles scintillaient, elles brûlaient d’excitation. Je lui adressai un baiser langoureux et passionné. « Je ne rigole pas. Rentre au chalet. » hurla-t-il, me toisant comme l’on toise son chiot, lorsqu’il a fait une bêtise. Je ne l’écoutais pas. Je ne faisais que mon travail. Mon travail faisait partie de moi, à présent. Le client en question m’attira vers lui, m’enferma alors dans son étreinte. Même si j’avais voulu me retirer, je n’aurais pas pu. Sa force était supérieure à la mienne, sans aucun doute. Il plongea sa tête dans mon cou, me faisant part de son souffle chaud. Mais je fus lancée en arrière, tirée par mon bien-aimée. Basile. Je tentai tant bien que mal de m’extirper de ses bras, un peu trop attachants mais il me mit sa veste en cuir, sans doute dans le but de cacher davantage de mon corps. Je souriais. « Maintenant, tu peux te défendre mais je te retiens prisonnière. Je te séquestrerai autant que tu ne voudras pas quitter ce travail. » plaisanta-t-il avec ce ton sérieux dans sa voix grave et rauque.